CONFÉRENCE – DÉBAT -"L’AVENIR DE L’ARTSAKH"

Rzeczpospolita: l'Arménie continuera à insister sur l'indépendance du Karabakh de l'Azerbaïdjan 12:58

Analitika. A. UA . Dans le règlement des conflits du Haut-Karabakh sont cruciales 3 points pour l'Arménie: l'indépendance du Haut Karabagh, contact direct avec Erevan pour les autorités et la sécurité des Arméniens vivant là-bas. Dans une interview au journal polonais Rzeczpospolita a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité de l'Arménie Arthur Baghdassarian, transferts NEWS.am .
«L'Arménie veut une solution pacifique au conflit et considère inacceptable la rhétorique agressive et les menaces de Bakou», a déclaré Bagdasyaryan, ajoutant: «Nous voulons prendre des décisions concrètes ont été adoptées lors du sommet de l'OSCE à Astana Décembre.
Répondant à une question de savoir si la partie arménienne à accepter le fait que le Haut-Karabakh reste un droit partie de l'Azerbaïdjan, sera exécuté si les conditions telles que, par exemple, sauver l'armée du Haut-Karabakh et le bureau local du ministère des Affaires étrangères, Bagdasarian a été brève: «L'Arménie n'est pas d'accord le fait que le Haut-Karabakh reste une partie de l'Azerbaïdjan. "
Dans le même temps secrétaire du Conseil de sécurité de l'Arménie a souligné qu'il ya une chance pour la reconnaissance de l'indépendance du Haut Karabakh par plusieurs États.

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Mondiale de facto l'indépendance de la RHK a reconnu
24 novembre 2010 - 12:33 AMT 08:33 GMTPanARMENIAN.Net - L'Arménie est pour la résolution pacifique des conflits, là où il pourrait éclater, président du parlement arménien a dit.

"Alors que l'Arménie cherche à résoudre le conflit du Haut-Karabakh pacifiquement, en Azerbaïdjan sape des entretiens avec des déclarations guerrières", Hovik Abrahamyan a dit.

«Bakou doit comprendre une fois pour toutes que l'Artsakh, un Etat démocratique, n'a jamais été et ne sera jamais une partie de l'Azerbaïdjan", at-il ajouté.

"Le monde a de facto reconnu l'indépendance de la RHK. Mais la transition de facto de jure est un processus long et compliqué », a conclu Abrahamyan.

http://www.panarmenian.net/eng/world/news/57252/World_de_facto_recognized_NKR_independence

Serge Sarkissian: L'Arménie est forcé de reconnaître Karabakh en cas d'agression militaire de l'Azerbaïdjan
Dans le cas d'une agression militaire de l'Azerbaïdjan, le Nagorno-Karabakh, l'Arménie n'aura pas d'autre choix que de reconnaître l'indépendance de la république, a déclaré le président de l'Arménie Serge Sarkissian , lors d'une session plénière du sommet de l'OSCE à Astana le 2 Décembre.
Selon les médias du Kazakhstan, M. Sarkissian a déclaré que l'Arménie refuse catégoriquement de retourner à l'action militaire dans le Haut-Karabakh. "Si l'Azerbaïdjan est de recourir à l'agression militaire, l'Arménie n'aura pas le choix, comme une reconnaissance de la République du Haut-Karabakh et son statut juridique et de renforcer sa capacité à assurer la sécurité du peuple d'Artsakh," - a déclaré le chef de l'Arménie.
Selon lui, «l'Azerbaïdjan ne semble pas intéressé à résoudre le conflit du Haut-Karabakh, et son seul but est de provoquer le dommage maximal à l'Arménie."
"Haut-Karabakh est vouée, comme la division territoriale de l'Azerbaïdjan, et quelle que soit la décision, elle doit être fondée sur la bonne volonté du peuple du Karabakh," - dit le Président de l'Arménie

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Ագրեսիայի դեպքում Հայաստանը կճանաչի Արցախի անկախությունը. Սերժ Սարգսյան

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Les présidents de la Russie, l'Azerbaïdjan et l'Arménie à Sotchi a été une déclaration commune sur le problème du Karabakh: le texte
Les présidents de la Russie, l'Azerbaïdjan et l'Arménie sur la base d'une réunion trilatérale à Sotchi le 5 Mars, publié une déclaration commune. Texte de la déclaration est entré en une REGNUM par les voies officielles. Dans la "Déclaration conjointe des présidents de l'Azerbaïdjan, la République d'Arménie et la Fédération de Russie sur le conflit du Nagorno-Karabakh», se lit en partie:
Les présidents de l'Azerbaïdjan, l'Arménie et la Fédération de Russie a rencontré le 5 Mars 2011 à Sotchi, à l'invitation du Président de la Fédération de Russie et a discuté en détail les progrès et les perspectives du règlement au Haut-Karabakh.
Ayant examiné la mise en œuvre pratique de la déclaration tripartite adoptée à Astrakhan, 27 Octobre 2010, les présidents, en plus de celles prévues pour les mesures qui y sont mis d'accord sur les prochaines étapes pour renforcer la confiance:
1. Achevé en l'échange en temps le plus court possible de prisonniers.
2. S'efforcer de résoudre tous les problèmes par des moyens pacifiques et à enquêter sur les incidents possibles le long de la ligne de cessez-avec la participation des parties sous les auspices du Groupe de Minsk de l'OSCE de l'OSCE et avec l'assistance du Représentant spécial du Président de l'OSCE en.
Les présidents ont souligné l'importance de leurs contacts réguliers sur le règlement du conflit du Haut-Karabakh et a convenu de les poursuivre dans ce format en plus des travaux du Groupe de Minsk de l'OSCE ".


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Vladimir Zakharov: Comme dans le Karabakh arménien est apparue nomades turcs
CIS 2114


Comme il arrive, à quelle page dans l'histoire du peuple arménien peut découvrir, avoir recours à des mensonges et calomnies de correction, qui est devenu la tâche logique politique de la décision rendue aujourd'hui en Azerbaïdjan, de la dynastie Aliev. Par leur propre autorité au cours des décennies créé lzheideologiya dans leur propre pays.
14 décembre 2005 à la séance solennelle consacrée au 60 e anniversaire de l'Académie des Sciences de l'Azerbaïdjan, le président Ilham Aliyev a déclaré dans son discours un appel aux historiens d'Azerbaïdjan et organismes compétents pour trouver des preuves d'Azerbaïdjanais autochtones et les Arméniens prishlosti dans le Haut-Karabakh, en promettant de subventions gouvernementales. Grâce à cette politique, le président continue afin connue depuis l'époque soviétique, la politique des autorités azerbaïdjanaises, et en particulier son père - Heydar Aliyev, pour "justifier" rester dans l'historique Artsakh tribus nomades turques depuis l'Antiquité, en effet, apparu sur le territoire du Karabakh seulement dans le milieu du XVIII siècle, et en même temps, la proclamation de la vie depuis des millénaires dans leur pays natal des invités Arméniens, soi-disant réinstallés uniquement dans le 70-s du siècle XIX.

Pendant des décennies, les propagandistes azéris font valoir dans leurs publications au sujet de la «présence azerbaïdjanaise ancienne Karabakh, la propriété de cette région de l'Antiquité à Azerbaïdjanais. Les scientifiques l'Azerbaïdjan sans vergogne prendre antécédents de crédit des pays voisins, notamment l'Iran, que parce qu'il ya, dans le nord, les tribus vivaient dans les îles Turks et certains membres de ces tribus devinrent les maîtres de la Perse.

Hélas, ces déclarations publiées n'ont rien à voir avec la véritable histoire de quand et comment les Arméniens du Karabakh est apparu nomades turcs. Certes, géorgien, russe, et eux-mêmes, "Azeri" chroniques parler clairement, que quand il est apparu à Khan Karabakh d'origine turque. Il a été nommé, il est connu, par exemple, "Azerbaïdjan" source. Vizir persan Mirza Khan Jamal Javanshir Karabakh a écrit: "Rod fin Panah Khan venait de Dizak Javanshir de oymaka Sarydzhally, l'une des branches de la tribu Bahmanli, qui sont arrivés dans les temps anciens du Turkestan.

Nadir Shah appelé Distinguished Service Panah Khan, et l'amena à elle. Mais envieux calomnie Shah serviteur, et qu'il était «dans la peur de sa vie, saisissant le moment où le shah était au Khorasan, avec certaines personnes de leur famille et les amis proches en 1150 (1737-1738) l'année se situait à Karabagsky gouvernorat.

Si nous jetons un regard rétrospectif sur l'histoire du Haut-Karabakh, ainsi, au moins au XVIIe siècle, nous voyons que depuis ce temps au Haut-Karabakh, peuplée en majorité d'Arméniens a créé un type de gouvernance administrative et politique, connue sous le nom «principautés» (principautés), et leurs dirigeants sont "meliks (mot sémitique pour« couronné »). Bientôt, ils ont été rejoints dans les 5 grandes principautés: Varanda, Khachen Dizak, Jraberd, Gulistan, qui sont connus comme «principautés Khamsa" (du mot arabe "Hamsa" - "cinq").

A longtemps été l'un des plus anciens membres de la race blanche "grand jeu" est l'Iran, ou, comme il a été appelé à la mi-vingtième siècle, la Perse. Et dans les temps anciens, et dans le Moyen-Age les différents territoires du Caucase modernes ont été sous les rois perses. La Perse était aussi un rival géopolitique traditionnelle de la Turquie.

Au cours des siècles XVI-XVIII. Ces deux ont été l'état de guerre permanent pour la domination de la région.

Dès la campagne persane de Pierre Ier, entre la Perse et l'Empire ottoman et la Russie forment nœud de contradictions insolubles, qui intelligemment et avec beaucoup de persévérance brûlé en Angleterre et en France. Au cours des siècles XVII-XVIII. meliks Artsakh la tête de la lutte de libération des Arméniens contre le Chah de Perse et le Sultan de Turquie. Pour obtenir de l'aide de l'Occident chrétien Princes de l'Artsakh en parallèle avec la lutte armée à envoyer leurs ambassadeurs à l'Europe et la Russie.

Conserve une lettre d'appel et meliks Catholicos des Arméniens du Karabakh, au nom de Pierre Ier, Catherine I, les autres empereurs de Russie, dans laquelle ils ont exprimé le désir de passer sous la domination russe.

Après l'assassinat de Nadir Shah Khan Panah a exprimé sa démission au nouveau chef de l'Adil Shah de Perse, qui, en 1745, envoyé à l'Bayat forteresse, debout dans les montagnes inaccessibles du Haut-Karabakh, un décret lui accordant le titre de Khan et le nomma gouverneur du Haut-Karabakh. Nomination Panah, puis son fils Ibrahim hanami Karabakh a été fait souverain perse pour un seul but - pour minimiser l'orientation de la meliks arménienne au Haut-Karabakh, a tendance à passer sous la domination de l'Empire russe, ainsi que de consolider son pouvoir sur la région représentée par les khans persan d'origine turque.

En utilisant la force militaire, les Turcs devint le chef des territoires habités exclusivement par des personnes de nationalité arménienne. Voici une des nombreuses confirmations de ces faits historiquement existé. 3 août 1800 le conseiller d'Etat P. Kovalensky dans une lettre au surintendant et chef de la Géorgie dans le Caucase, le général K. Knoringu a écrit: "... sont les descendants des Melikov ou karabagskih propriétaires, koi parmi les cinq ans, selon la ruine du royaume arménien, de l'Antiquité à préserver l'indépendance de leurs biens à la période la plus récente, lorsque le père de l'actuel propriétaire karabagskago Ibrahim Khan ... la maison avec eux, et puis il suffit de les remplacer. "

Dans la même lettre, le conseiller d'Etat a déclaré que «Ibrahim Khan, un homme âgé et intelligent Persique, après que son père, il a reçu un héritage d'une participation très limitée en la possession de Karabagskom, conduite par un autre meliks arménienne, depuis les temps anciens, a conservé son indépendance ..."

Le fait que dans Karabakh semblait khans persique, la Russie a non seulement connu mais aussi de recueillir des renseignements à ce sujet. Par exemple, Catherine II a été demandé en 1784, Grigori Potemkine d'Ibrahim Khan: "Permettez-moi de savoir qui il est? Et à quel point le Khan? Jeune ou vieux, fort ou bezsilen, et si les Perses ont tendance à lui? "

Informations sur le Karabakh est venu à la Russie de tous les côtés, comme en témoigne la correspondance avec l'archevêque Joseph Argutinsky, et avec le Melikov Karabakh. Sur ce dernier de communiquer avec les autorités russes, il est devenu connu, et Ibrahim Khan, qui est devenu leur chasse. début du vol, les Arméniens du Karabakh dans les pays voisins et même la Russie. Kartli-Kakhétie roi Irakli II a indiqué chancelier Bezborodko en 1797: "permis de séjour en Karabag princes personnes Melikov arméniennes de l'Antiquité a le désir d'aller à la résidence pour les chrétiens, ce fait se débarrasser de l'infidèle, et de les subir il ya une grande oppression. Pourquoi karabagskiya princes Dzhimshid fils Melik Melik et Melik Shakhnazarov Pridon fils Melik Beglyarov maintenant, après avoir trouvé l'occasion, des pays riches et leurs familles de Karabag gauche, et vint à nous, ont annoncé leur volonté sur le transfert au-dessus du peuple arménien ... "

Je mentionne cela seulement parce que tant de détails de présenter une situation qui a été le début du XIX siècle la population du Karabakh et des régions adjacentes, comprenant principalement des Arméniens, mais force contrôlée fixé par les dirigeants perses. Ce fait est maintenant placé au centre de scientifiques azerbaïdjanais et politiciens écume à la bouche essayer de convaincre un non-existant - que la population du Karabakh et les khanats environnante était uniquement de "Azéris".

Au début du XIXe siècle sur le trône de Russie, Alexandre Ier, qui a radicalement changé la politique étrangère de son père. Ont été restaurés relations avec la Grande-Bretagne brisée par Paul I. La normalisation des relations avec les pays européens a permis à la Russie de renforcer sa politique dans le Caucase et en Transcaucasie. Georgian King George XII à plusieurs reprises tourné vers la Russie en demandant la protection. 12 septembre 1801 a publié un manifeste sur l'adhésion de la Géorgie orientale (Kartli-Kakheti) à la Russie. Dans les années 1803-1804. dans les mêmes conditions à la Russie entra dans la principauté Mingrélie, Guria et Imereti, Géorgie occidentale constituée. Et en 1810 - le Royaume-abkhaze. Pour la Russie, l'adhésion de la Géorgie signifiait l'acquisition de territoire d'importance stratégique pour renforcer sa position dans le Caucase et en Transcaucasie. Mais l'intensification de la direction géorgienne face à la Russie et la Perse, qui revendiquaient cette région, et en 1804 a commencé la guerre russo-persane.

Dans les années 1803-1805. fortement aggravé la situation internationale en Europe. Le jeune Bonaparte a impliqué de nombreux pays européens, y compris la Russie, dans une série de guerres. Ainsi, la situation de l'Europe dans le Caucase a été dans un état constant d'explosion. Début du mouvement des peuples qui ont cherché refuge de la guerre et l'oppression. À ce moment, de modifier la composition ethnique et la population du Karabakh. Comme le fait remarquer JG Barsegov dans cette région le processus a commencé plus tard que les autres terres arméniennes, depuis le meliks Karabakh ont conservé leur position semi-indépendante à l'état perse. Un rapport de la Perse, les Arméniens ont été fondamentalement différente de celle des autorités ottomanes en Arménie occidentale et les Turcs réinstallés dans le Caucase du Sud. Le Schah de Perse, que les traditions séculaires des relations arméno-Persique, sans recourir à l'expulsion de la population arménienne des territoires en leur pouvoir. Au contraire, par tous moyens, y compris même la violence, ils ont cherché à garder les Arméniens sous leur autorité, voire de les réinstaller en Perse à partir des zones domination de l'Arménie historique.

Il convient de noter que les dirigeants russes militaires et politiques ont souligné à plusieurs reprises que les Arméniens ont toujours été la force qui a permis de rejoindre Karabakh à la Russie, bien que cela et laisser Khan et de son entourage.

Depuis formellement en termes de droit international, le pouvoir du shah de Perse à propos du Karabakh et d'autres possessions Persique effectuée hanami-gouverneurs, que la Russie doit s'appuyer sur les activités séparatistes des khans, à la recherche d'affectation des territoires perses. C'est pourquoi la Russie exagérer le rôle des khans et leur consommation d'énergie, puis comme une institution qui pouvait légitimement décider de la question de la propriété du Karabakh. En d'autres termes, le Khan pourrait choisir à qui obéir - persan ou souverain russe.

14 mai 1805 entre le russe et persane Tsitsianov général d'origine turque, Ibrahim Khan a été signé Kurekchay traité sur la transition du khanat du Karabakh sous la domination russe.

Fait intéressant, les historiens modernes Azerbaïdjan écrire que le document - le «poids de la preuve historique, appartenant Karabakh à l'Azerbaïdjan, qui a été annexée à la Russie" que la possession purement azerbaïdjanaise ".

Oui plénitude, mes bons messieurs! Pourquoi falsifier des faits historiques connus. Après toutes ces terres en 1805, a été détaché de la Perse par la conclusion du contrat n'est pas avec le gouverneur n'existait pas, alors l'Azerbaïdjan et le gouverneur persan du Karabakh, et c'est tout. Ne pas écrire Sisianov Khan Ibrahim Shusha: «Je suis votre obéissance et l'allégeance ne veulent pas et ne serait pas, dans la mesure où je suis votre fidèle Persique je l'espère, combien pouvez-vous compter sur le vent."

En 1806, la guerre a éclaté entre la Russie et la Turquie, qui prendra fin après cinq ans de la défaite de l'Empire ottoman et la conclusion mai 1812 un traité de paix par lequel la Bessarabie à la Russie a quitté, à l'exception de sa partie sud.

C'est les principales étapes des événements internationaux qui ont précédé la conclusion du traité de paix de Gulistan.

l'invasion napoléonienne de la Russie contraint de réduire une partie de l'attention dans le domaine Persique. Après la défaite de l'armée française en Russie assez rapidement et a terminé la guerre avec la Perse, qui, comme nous le rappelons, a couru depuis 1804.

12 (24) Octobre 1813 signé un traité de paix de Gulistan, complété par une longue guerre dans le Caucase. Les Perses reconnu l'adhésion des zones Empire russe, la Géorgie, l'Abkhazie, au Daghestan, Karabakh et plusieurs autres. Russie absorbé la totalité de la côte caucasienne de la mer Caspienne, de l'embouchure du Terek à Astara, et notre état a acquis le droit exclusif de la flotte de la mer Caspienne.

Mais si ces actions autant de succès politique, visant à long terme? Quelles leçons pouvons-nous enseigner une histoire en rapport avec les développements modernes dans la région?

Dans ces jours, les relations entre la Russie et la Perse ont de nombreux parallèles avec le présent. Après la signature du traité de paix de Gulistan, la Perse perdit son influence sur toute une gamme de domaines constituant le territoire d'aujourd'hui, appelés en 1918, l'Azerbaïdjan. Ces zones ne font pas partie de l'histoire, mais le désir de les mettre sous leur domination est devenue plus insistante idée de toute la politique perse dans les années subséquentes.

D'une part, elles sont associées à la politique de l'héritier de la vengeance au trône de la Perse Abbas Mirza, qui était armé par les Britanniques et les Français, comme indiqué à l'AP général Ermolov. Mais Alexandre Ier a réagi à ces nouvelles, très légèrement, ne leur donne pas la valeur. Et quand l'invasion a commencé, Abbas Mirza, était déjà trop tard et a dû recourir à la force pour «imposition de la paix", mais finalement, seule la bataille de Yelizavetpol mettre un terme à la politique agressive de la Perse. Je vais vous dire à ce sujet et présenter aux lecteurs à ceux trouvés mes souvenirs d'un témoin de la bataille. Ensuite, un natif du Haut-Karabakh, le général Madatov éclaté 30000e armée persane, cependant, a attribué sa victoire Paskevich. Cette nouvelle victoire sur les Perses donné à la Russie de nouvelles acquisitions territoriales - Erivan et de Nakhitchevan khanat.

Viennent à l'esprit, et les parallèles avec les événements de la guerre de cinq jours en 2008, alors que quelques méthodes ont changé. Les troupes géorgiennes ont également été d'armer les experts étrangers et les pays étrangers. Le rôle des Perses et les Turcs, puis est l'actuel président de la Géorgie et en Russie il ya une forte diaspora géorgienne, la poursuite d'une sortie de capitaux de notre pays. En Géorgie, la présence constante de la rhétorique militaire, à réfléchir, et ne viennent à l'esprit la tête possédait activé en 2014 à perturber les Jeux olympiques pacifiques. En effet, les entreprises coréennes ont lui a promis des milliards de dollars pour une telle panne. Là, la Corée du Nord, à la hâte en cours de construction des sites olympiques, et ils sont convaincus que, dans la 14 ème année des Jeux Olympiques aura lieu à eux.

Sans aucun doute, l'événement est maintenant à cravate, qui va définir la prochaine décennie, même pas, mais pendant des années. Mais ce n'est que depuis la conclusion du monde Gulistan, a beaucoup changé, et les enjeux de la politique mondiale a considérablement augmenté. C'est pourquoi il est si important aujourd'hui, le rôle du Haut-Karabakh. Le règlement pacifique de ce problème, la reconnaissance du Karabakh lui-même comme un État indépendant est maintenant crucial pour le maintien de la paix, non seulement dans toute la région transcaucasienne, mais aussi dans l'Iran moderne. Et pour cela nous avons besoin d'un nouveau Goulistan XXI e siècle.

Vladimir Zakharov, directeur de l'Institut d'études politiques et sociales de la région de la mer Noire-mer Caspienne
Source: International journal arménien "Arche de Noé"
www.noev-kovcheg.ru

Session ordinaire 2011

La souveraineté nationale et le statut d'état


http://assembly.coe.int/Documents/WorkingDocs/Doc11/FDOC12507.pdf