Les élections à la république d’Arménie

http://www.azadakrum.org/Jirayr/Interviews/jiroexclusive.html


C'est son opinion personnel

Communiqué du CNA

http://www.haybachdban.org/accueil.htm

http://afp.google.com/article/ALeqM5hKKgRVWghtNd25uh23iUa-SD4ZRA

Je ne veux que retirer ce que j'ai écrit ci-dessus après avoir lu cet article.

https://www.youtube.com/watch?v=aFW2q2S4p28&eurl=http://lj-toys.com/?journalid=11069712&moduleid=46&auth_token=sessionless:1204398000:embedcontent:11069712iurl=http://i.ytimg.com/vi/aFW2q2S4p28/default.jpg

Citation :

Il n'est absolument pas concevable d'injurier les Arméniens sur ce forum, j'avertis que je ne tolérerai aucune insulte, la sanction sera immédiate.

L'Administrateur

La pire des erreurs vient d'etre commise. C'etait surrement à prevoir, il n'allait pas se laisser voler la place...

La nuit sera longue...

ԺՈՂՈՎՈՒՐԴԸ ՀԵՏ ՄՂԵՑ ԱՌԱՋԻՆ ՀԱՐՁԱԿՈՒՄԸ
[22:00] 01 Մարտի, 2008

Գրիգոր Լուսավորիչ փողոցն այսօր ժամը 21-ի սահմաններում մարտի դաշտ էր հիշեցնում: ՀՀ զինված ուժերը հարձակվեցին սեփական ժողովրդի վրա, որը փորձում էր ինքապաշտպանվել ձեռքի տակ եղած փայտերով, քարերով: Մոտ մեկ ժամ տեւած հարձակման ընթացքում ժողովրդի արձակեցին լուսատու փամփուշտներ, արցունքաբեր գազ եւ պայթուցիկներ էին նետում: Ժողովիդին ՚Լեւոն նախագահՙ վանկարկելով, փայտ ու քարերով մինչեւ Մաշտոցի փողոց քշեց զինված ուժերին: Այդ ընթացքում ընդդիմության առաջնորդը իրար հաջորդելով ելույթներ էին ունենում եւ վստահեցնում, որ իրենք արդեն հաղթել են: ՚Եթե մենք այստեղից չհեռանանք հաղթանակով, մենք չենք կարողանալու նայել մեր երեխաների աչքերինՙ,- ասաց Արարատ Զուրաբյանը:

ժողովուրդը հետ մղելով զինված ուժերի առաջին հարձակումը, նախապատրաստվում է նոր ինքնապաշտպանության` համոզված չլինելով, որ իշխանությունները այսօր արդեն երրորդ, չորրորդ անգամները ուժ չեն գործադրի իրենց նկատմամաբ: Բացի Լեւոն-Տեր-Պետրոսյանից նրա շուրջ հավաքված բոլոր ուժերը հարթակում են եւ քաջալրում են իշխանություններին: ՚Եթե նրանք փորձեն կրկին հարձակվել, այնպիսի հակահարձակ կտանք, որ մինչեւ Բաքու կհասնենՙ,- հայտարարեց Մյասնիկ Մալխասյանը:

ԿԱՇԽԱՏԵՆՔ ՀԱՏՈՒԿ ՊԱՅՄԱՆՆԵՐՈՎ
[23:15] 01 Մարտի, 2008

Հարգելի ընթերցողներ, Երեւանում հայտարարված է հատուկ դրություն, եւ այդ պայմաններում օրենքի համաձայն արգելվում է տեղեկատվություն տրամադրել քաղաքական իրավիճակի եւ զարգացումների մասին: Հատուկ դրությունը կտեւի 20 օր, այդ ընթացքում մեր կայքում կարող եք կարդալ միայն մշակութային, սպորտային լուրեր ու պաշտոնական լրատվություն: Հայցում ենք ձեր ներողամտությունը:

"10 POLICEMEN BEAT UNE JEUNE HOMME"

Tôt le matin, le battu des manifestants ainsi que d'autres citoyens se sont réunis devant l'ambassade de France à Erevan. D'autres citoyens qui avaient organisé une marche aussi joints à eux. Les manifestants va rester ici jusqu'à 15,00 heures, et ensuite ils vont organiser un rassemblement.

"Qui agressions sur des manifestants pacifiques? Seuls les Turcs ", a déclaré un manifestant. L'un des témoins dans le Liberty Square, Varduhi de Haghtanak village a dit que les policiers sont tombés sur eux dans le Liberty Square et "un certain temps j'ai vu comment ces derniers trois policiers avec des matraques battre une femme dans l'avenue Mashtots". La femme a déclaré que nous avons exigé la Turquie à reconnaître le génocide, mais "la police met en œuvre un génocide par Kocharyan de l'ordre".

"Dix policiers frapper un jeune homme et l'ont jeté dehors, peut-être il est mort", a déclaré un autre témoin.

"Sans avertissement, ils agressé sur nous, d'abord à la police, puis les soldats, il me semblait qu'ils étaient les serviteurs militaires du Haut-Karabakh. Je l'ai lu sur leur uniforme. Ensuite, ils ont battu les femmes et les enfants sévèrement sans enregistrer n'importe qui ", a déclaré un autre témoin Mkrtich Abrahamian qui ont participé à la marche vers l'ambassade de France. «Si nous ne gagnons pas, nous allons quitter ce pays", at-il dit.

À l'heure actuelle, près de l'ambassade de France, les manifestants réclament "la liberté", "Levon Président".


“10 POLICEMEN BEAT A YOUNG MAN”

Early in the morning the beaten demonstrators as well as other citizens gathered in front of the French Embassy in Yerevan. Other citizens who had organized a march also joined them. The demonstrators will stay here until 15.00 p.m., and then they will hold a rally.

“Who assaults on peaceful demonstrators? Only Turks”, stated a demonstrator. One of the witnesses in the Liberty Square, Varduhi from Haghtanak village told that the police fell on them in the Liberty Square and “some time latter I witnessed how three policemen with truncheons beat a woman in the Mashtots Avenue”. As the woman stated we demanded Turkey to recognize the genocide but “the police implements a genocide by Kocharyan’s order”.

“Ten policemen beat a young man and threw him away, maybe he died”, told another witness.

“Without warning they assaulted on us, first the police then the soldiers, it seemed to me that they were the military servants from Karabakh. I read it on their uniform. Then they beat women and children severely without saving anyone”, told another witness Mkrtich Abrahamyan who participated in the march to the French Embassy. “If we do not win, we will leave this country”, he said.

At the moment near the French Embassy the demonstrators are crying out “Freedom”, “Levon President”.

Citation :

J'avertis que je ne tolérerai en aucune façon des propos discriminatoires et des injures à l'encontre des Arméniens, ceci est un dernier avertissement, la sanction sera immédiate.

Tiko, je te prie d'accepter les excuses des membres du forum, s' il devait arriver encore ce type de dérapage je te prie de nous le signaler rapidement.

L'Administrateur

TER-PETROSSIAN témoin
[06:39 pm] 01 mars, 2008

Levon Ter-Petrosyan restés dans le Liberty Square longtemps, et aujourd'hui dans le cadre de la maison d'arrêt, il a mené une conférence de presse internationale et de nombreux journalistes ont participé. La RA Premier Président indique au sujet de l'incident en détail.

«À 6 heures j'étais waken up et a dit que les troupes spéciales de Parakar et Davitashen allaient dans notre direction, mais qu'ils n'étaient pas armés. J'ai parlé à la population. Nous n'avons pas l'impression que quelque chose aurait lieu. Pour sécuriser coordonnées en cas d'urgence, nous avons tourné sur les micros afin de pouvoir communiquer avec les gens. Les troupes ont été observés à environ 6.30-40 a.m.. Ils ont fait un cercle dans les rues voisines et est arrivé sur la Place. Les soldats sont venus dans les rangs de la droite et la gauche, et il était là en face de la population. J'ai dit aux gens de ne pas porter plainte ou d'attaque sur les troupes, je leur ai demandé d'être patient et de ne pas parler avec eux. Je leur ai demandé d'attendre que nous avons découvert ce que la police voulait de nous. C'était mon dernier mot. Les rangs des troupes avancé et a commencé à frapper les gens. J'ai vu deux choses - de matraques et de mousseux décharges électriques. Vous avez pu voir le bleu brille tout le temps, rien d'autre, pas de fusils, pas d'armes à feu des obus, pas de gaz, pas de gaz lacrymogènes, pas de voitures verser de l'eau. La cité deux armes ont été utilisées pour la protection. Qui résistait à eux, mais ils ont été sévèrement battus. Quelques moments plus tard, les officiers du service de sécurité du président dirigé par Grisha Sarkisov apparition sur la plate-forme. Mes gardes du corps ont été me protéger, mais ils représentaient le département mentionné, et ils obéissaient Grisha Sarkisov. Mes gardes du corps ont été me protéger, seulement Grisha Sarkisov les hommes ont réussi à évacuer à partir de la plate-forme. Grish Sarkisov et puis quelqu'un d'autre cale mes bras et descendent de la plate-forme, puis mes hommes entouré, et je me dit que je ne laisserait pas la place, j'ai dit qu'ils étaient libres de m'arrêter, car je ne laisserait que dans les menottes. Je leur ai demandé de faire appel devant le Procureur général Aghvan Hovsepyan, laissez-le donner des sanctions si elles considéraient que c'était un rassemblement illégal et j'avais organisé. Aucune autre personne n'est responsable de la manifestation, et seulement dans ce cas, je laisse la place. Tout s'est passé dans un délai de 10-15 minutes, la Place a été vidée rapidement, vous risquez de ne voir personne dans la place, mais les policiers. Les troupes ont encerclé le territoire de l'Opéra, puis ils ont commencé à ruiner les équipements sur la plate-forme, des tentes et commencé la recherche de certaines choses, certains des gourdins, j'ai vu comment ils gourdins et la propagation de son enregistrement. Ils avaient avec eux des opérateurs qui étaient l'enregistrement. Je suis resté dans le square pendant 2 heures jusqu'à 8,35 heures. Je fixées fumé, bu de l'eau, personne ne m'a approché à nouveau. Plus tard Sarkisov est venu vers moi et m'a dit que je devais quitter, je répète Je laisserais s'ils effectué ma demande. Il est venu plusieurs fois à gauche et, peut-être qu'ils étaient consulting, puis rangs de la police est arrivée, mon corps déplacé de là et m'a demandé de les suivre, mais j'ai résisté à nouveau, puis ils ont tenu mes bras m'a fait prendre la voiture, et m'a amené à domicile , Plus tard, j'ai découvert qu'ils avaient enfermé mes deux portes.

Ensuite, j'ai envoyé le chef de mon corps pour savoir si j'étais sous arrestation à domicile ou non. Ils ont dit que je n'étais pas en vertu de la maison d'arrêt, j'ai simplement n'avait pas le droit de quitter la maison et nul n'avait le droit de venir à ma place. Certains de mes amis ont tenté de venir à ma place, ils ne leur permettent pas po C'est là toute l'histoire. J'ai essayé de prendre contact avec mes amis, j'ai réussi à parler à 4-5 de mon peuple. De nombreuses personnes ont été blessées, j'ai vu comment un jeune homme a été frappé, il a couru dans la mauvaise direction. 7-8 policiers ont frappé avec des matraques, si mes gardes n'ont pas le sauver, il serait probablement mort ".

Levon Ter-Petrosyan a également informé que la police n'a pas les avertir rien. «Si seulement ils avaient mis en garde, peut-être que la foule se disperser, mais ils n'ont rien dit».

TER-PETROSYAN WITNESSED
[06:39 pm] 01 March, 2008

Levon Ter-Petrosyan remained in the Liberty Square long, and today under the home arrest he conducted a press conference and many international journalists participated in it. The RA First President tells about the incident in detail.

“At 6 a.m. I was waken up and told that special troops from Parakar and Davitashen were moving in our direction, but they were not armed. I talked to the people. We did not think that something would take place. To secure us in case of emergency we turned on the microphones to be able to communicate with people. The troops were observed at about 6.30-40 a.m.. They made a circle in the neighboring streets and arrived in the Square. The troops came in rows from the right and left and stood in front of the people. I told the people not to complain or attack on the troops; I asked them to be patient and not to talk with them. I asked them to wait until we found out what the police wanted from us. This was my last word. The rows of the troops moved forward and began beating the people. I saw two things - truncheons and sparkling electric shocks. You could see the blue sparkles all the time, nothing else, no guns, no gun-shells, no gas, no tear gas, no cars pouring water. The mentioned two weapons were used for protection. People were resisting them, but they were beaten severely. Some times later the officers of the president’s security service headed by Grisha Sarkisov appeared on the platform. My bodyguards were protecting me, but they represented the mentioned department and they obeyed Grisha Sarkisov. My bodyguards were protecting me, only Grisha Sarkisov’s men were able to evacuate them from the platform. Then Grish Sarkisov and someone else hold my arms and descended from the platform, then my men surrounded me and I said I would not leave the Square, I said they were free to arrest me, since I would leave only in handcuffs. I asked them to appeal to the General Prosecutor Aghvan Hovsepyan, let him give sanctions if they considered that it was an illegal rally and I had organized it. No one else is responsibility for the rally and only in that case I would leave the Square. Everything happened within 10-15 minutes, the Square was emptied swiftly, you could not see anyone in the Square, but the policemen. The troops surrounded the territory of the Opera, then they began ruining the equipments on the platform, tents and began looking for some things, some cudgels, I saw how they spread the cudgels and recorded it. They had operators with them who were recording it. I stayed in the Square for 2 hours until 8.35 a.m.. I set down smoked, drank water, no one approached me again. Later Sarkisov came up to me and said that I should leave; I repeated I would leave if they carried out my demands. He came and left several times, maybe they were consulting, then the police rows came, moved my bodyguards away and demanded me to follow them, but I resisted again, then they held my arms made me get onto the car, and brought me home, later I found out that they had locked my both gates.

Then I sent the head of my bodyguards to find out whether I was under home arrest or not. They said that I was not under home arrest I simply had no right to leave the house and no one had the right to come to my place. Some of my friends tried to come to my place; they did not allow them in. This is the whole story. I have tried to contact with my friends, I managed to talk to 4-5 of my people. Many people were injured, I saw how a young man was beaten, he ran in the wrong direction. 7-8 policemen beat him with truncheons, if my guards did not save him, he would probably be dead’.

Levon Ter-Petrosyan also informed that police did not warn them anything. “If only they had warned, maybe the crowd would disperse, but they did not say anything”.

EXTRAORDINARY CIRCUMSTANCES IN ARMENIA

On 1 March the president of the Republic of Armenia Robert Kocharyan announced extraordinary circumstances in Armenia. The information is provided by the press and public relations department of the president’s administration.
In order to prevent the threats of the constitutional order and to protect citizens’ rights and legal interests, leading by the RA Constitution articles 55/14 and 117/6 a decision is made:

1. to announce extraordinary circumstances in Yerevan for 20 days on 1 March 2008
2. to announce the RA president as the body of regulating and directing the problem salvation duties
3. to hand the responsibilities of providing the peace and regulation steps to the police of the RA and the Defense Ministry of RA
4. to announce extraordinary circumstances in the announced territories with the following time limits:
1) to prohibit conducting meetings, gatherings, manifestations, public demonstrations,
2) to prohibit any activities limiting organizations’ labor duties,
3) to give legal bodies rights, if needed, to stop and check transport means,
4) mass media is allowed to publish state and local news in the line with information provided by the state bodies
5) to prohibit carrying out political campaign by spreading booklets without having permission from appropriate state bodies,
6) to block activities of political parties and NGO-s which could prevent from carrying out the announced extraordinary circumstances in the capital,
7) to oust people from the territories where they prevent from carrying out the extraordinary circumstances on their own means or on state budget with the terms that they should be paid back,
5. to command the Government of the RA to take and carry out necessary measures to assure the bringing out of the current order,
6. The current order comes into force after it is announced.

Source: Panorama.am

http://www.laprovence.com/articles/2008/03/01/314380-Monde-Armenie-la-police-a-disperse-les-manifestants-qui-campaient-a-Erevan.php

Նախագահ Ռոբերտ Քոչարյանը մարտի 1-ին հրամանագիր է ստորագրել արտակարգ դրություն հայտարարելու մասին.

՚Հայաստանի Հանրապետությունում սահմանադրական կարգին սպառնացող վտանգը կանխելու եւբնակչության իրավունքներն ու օրինական շահերը պաշտպանելու նպատակով, ղեկավարվելով Հայաստանի Հարապետության Սահմանադրության 55-րդ հոդվածի 14-րդ եւ117-րդ հոդվածի 6-րդ կետերով` ո ր ո շ ու մ ե մ.

1. Երեւան քաղաքում 2008 թվականի մարտի 1-ից 20 օր ժամկետով հայտարարել արտակարգ դրություն:

2. Արտակարգ դրություն հայտարարելու համար հիմք ծառայող հանգամանքների վերացման եւայլ հրատապ հարցերի կանոնակարգման եւիրականացման ղեկավարումը վերապահել Հայաստանի Հանրապետության Նախագահին:

3. Արտակարգ դրության իրավական ռեժիմի ապահովումը վերապահել Հայաս­տանի Հանրապետության կառավարությանն առընթեր Հայաստանի Հանրապետության ոստիկանությանը եւՀայաստանի Հանրապետության պաշտպանության նախարա­րու­թյանը:

4. Սահմանել արտակարգ դրություն հայտարարված տարածքում հետեւյալ ժա­մա­նակավոր սահմանափակումները՝

1) ժողովների, հանրահավաքների, ցույցերի, երթերի եւայլ զանգվածային միջո­ցա­ռումների իրականացման արգելում.

2) գործադուլների եւկազմակերպությունների գործունեությունը դադարեցնող կամ կասեցնող այլ միջոցառումների արգելում.

3) իրավապահ մարմինների կողմից, անհրաժեշտության դեպքում, անձանց, տրանս­պորտային միջոցների տեղաշարժի սահմանափակում եւզննության իրակա­նա­ցում.

4) զանգվածային լրատվության միջոցների կողմից պետական եւներքաղաքական հարցերի առնչությամբ հրապարակումները կարող են իրականացվել բացառապես պետական մարմինների պաշտոնական տեղեկատվության սահմաններում.

5) առանց համապատասխան պետական մարմինների թույլտվության՝ թռուցիկ­ների եւայլ ձեւով քաղաքական քարոզչության իրականացման արգելում.

6) արտակարգ դրություն հայտարարելու համար հիմք ծառայող հանգամանքների վերացմանը խոչընդոտող կուսակցությունների եւայլ հասարակական կազմակեր­պու­թյունների գործունեության ժամանակավոր կասեցում.

7) արտակարգ դրության իրավական ռեժիմը խախտած եւ տվյալ տարածքում չբնակվող անձանց վտարում` նրանց միջոցների հաշվին, իսկ միջոցներ չլինելու դեպ­քում` Հայաստանի Հանրապետության պետական բյուջեի միջոցների հաշվին` կատար­ված ծախսերի հետագա փոխհատուցման պայմանով:

5. Հայաստանի Հանրապետության կառավարությանը` ձեռնարկել անհրաժեշտ միջոցառումներ սույն հրամանագրի իրականացումն ապահովելու ուղղությամբ:

6. Սույն հրամանագիրն ուժի մեջ է մտնում տեղեկացման պահիցՙ

ՓԱՍՏՈՐԵՆ ԿՈՉԱՐՅԱՆԸ, ԻՐԱՎԱԿԱՆ ՀԱՆԳՈՒՑԱԼՈՒԾՈՒՄՈՎ, ԲԱՑԱՀԱՅՏԵՑ ՇՈՒՐՋ ՎԵՑ ՏԱՐԻ Ի ՎԵՐ ԻՐ ԻՇԽԱՆՈՒԹՅԱՆ ԳՈՐԾԵԼԱՈՃԸ։
Այս որոշումը իրենց վերջին խաղաթուղթն է…

Depuis ici 6 ans le Kocharian fait comme Putin, mais sans repartage de la richesse à la population (pars que on a pas l'or noir).
Comme dit Serge Sarkissin : notre richesse de l'homme, c'est le ressource humain?
Mais on voit bien que sur TV H1 la richesse de Erevan, salon eu, c'est quelque voitures et un ou 2 magasins, mais on parle plus des vies de nos jeunes frères compatriotes, qui sont se mobiliser et participés à un manifestation pour application des droits inscrit dans notre constitution.
Si on croit à la télé H1, vous pouvez bien constater la brutalité des forces d'ordre de Kocharian, vous n’avez pas oublié aussi que en novembre 2005 la police française dans les banlieues n'a pas causé les mortes.

Un point sur la situation :

- Nous avons appris en matinée qu'il y aurait plusieurs personnes décédées lors des manifestations de la nuit et de la journée du 1er mars. Un des problèmes dans notre enquête sur cette question est que nous n'avons trace d'aucun corps ce qui laisserait à supposer qu'on aurait affaire à des contre-vérités, même au niveau des hôpitaux nous n'avons pas d'éléments sur cette question, toutefois difficile encore et vous en conviendrez de conclure de cette façon, l'information étant sous le régime d'un décret de couvre-feu.

- Néanmoins nous nous investissons pour en savoir plus, malgré des informations très contradictoires.

Les décés s'ils ont eu lieu, sont pour le moment, "étouffés", les corps inexistants, leur nombre pouvant varier, de huit à quarante ne souscrive pas à une objectivité de l'information, à prendre avec des pincettes.

Ceci dit, les blessés sont réels tant au niveau des manifestants qu'au niveau des forces de l'ordre, et vue le nombre de manifestants suite à l'expulsion violente des leurs, en matinée, nous pouvons difficilement imaginé que les forces anti-émeutes ont le contrôle total de la situation même aujourd'hui et malgré la présence de blindés.

- En ce qui concerne, le pillage, nous avons des éléments qui montrent que des groupuscules se sont infiltrés au sein des manifestants, et ont réalisé des actions ciblées, qui sont ces gens ceci reste encore un mystère, mais nous devons tenir compte du fait qu'il suffit de quelques éléments déclencheurs pour entraîner la foule et la mission est accomplie.

Il faut être très vigileant sur les diverses informations que nous recevons en permanence, informations parfois contradictoires donc pas toujours fiables.

Arménie: les affrontements entre la police et les manifestants ont fait huit morts
Il y a 6 heures

EREVAN- Huit personnes ont été tuées et une centaine d'autres blessées dans les affrontements qui ont opposé la police et les manifestants contestant les résultats de l'élection présidentielle du mois dernier en Arménie, a annoncé dimanche un porte-parole de la police.

Le président sortant Robert Kotcharian a déclaré l'état d'urgence pour 20 jours samedi soir, estimant que "ce qui se passe maintenant n'est pas un processus politique. Cela a déraillé". "J'appelle toute la population d'Arménie à faire preuve de retenue et de compréhension", a-t-il ajouté.

Dimanche, des centaines de militaires portant le casque, des gilets pare-balles et des fusils d'assaut Kalachnikov patrouillaient dans le centre d'Erevan, la capitale.

La police a bouclé plusieurs grandes rues où s'étaient produites les violences la veille et les soldats munis de haut-parleur prévenaient les habitants que les rassemblements étaient interdits. Des carcasses calcinées de voitures étaient encore visibles dans certaines rues, où les vitrines des commerces étaient brisées et les kiosques pillés.

Les forces de sécurité ont tiré des coups de feu en l'air et des gaz lacrymogènes samedi pour disperser une foule d'environ 15.000 manifestants. Ces derniers dénonçaient des fraudes lors de l'élection du 19 février qui a vu le Premier ministre Serge Sarkissian, proche du président sortant, élu dès le premier tour à la magistrature suprême.

Ces violences, les pires qu'ait connues l'Arménie depuis son indépendance de l'Union soviétique en 1991, font craindre pour la stabilité du pays, frontalier de l'Iran et par lequel transitent les ressources énergétiques de la région de la mer Caspienne destinées à l'Occident. L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) dépêchait un émissaire pour servir de médiateur dans la crise.

Selon le ministre de la Santé Aroutiounr Kouchkian, les accrochages de samedi ont fait huit morts et 131 blessés, dont 57 policiers et militaires. Sur les 55 personnes au moins qui ont été arrêtées dans les incidents, 15 ont été inculpées, a affirmé Sona Truzian, porte-parole au bureau du procureur général.

Les autorités accusent les manifestants d'avoir tiré des coups de feu sur la police, ce que l'opposition dément formellement.

Un responsable des forces de sécurité ayant requis l'anonymat a déclaré à l'Associated Press que les décès étaient survenus dans une fusillade entre manifestants et policiers, et que sept des personnes tuées étaient des civils.

Le chef de l'opposition, Levon Ter-Pétrossian, qui revendique la victoire à l'élection présidentielle, lancé un appel au calme et demandé aux manifestants de rentrer chez eux. Son entourage a sillonné les rues du centre-ville dans la nuit en diffusant un message en ce sens, enregistré depuis sa résidence qu'il n'a pas eu le droit de quitter.

"Nos forces sont inégales, nous sommes encerclés par les troupes et notre président suggère que nous nous dispersions", constatait-il dans ce message. La plupart des manifestants semblaient avoir levé le camp dimanche matin.

Arménie: Erevan sous haute surveillance après des violences qui ont fait huit morts
Il y a 12 heures

EREVAN (AFP) — La capitale arménienne Erevan a retrouvé son calme dimanche mais était placée sous l'oeil vigilant de l'armée, une journée après les violences entre manifestants d'opposition et policiers qui ont fait huit morts et conduit à l'instauration de l'état d'urgence.

"Toute tentative de participer à des rassemblements, même les plus restreints, recevra une réponse sévère. Cela vise à maintenir la stabilité du pays et la sécurité de la société", a mis en garde le chef d'état-major des armées, le général Seïran Oganian, à la télévision.

A la suite des troubles, le président arménien Robert Kotcharian a décrété samedi l'état d'urgence à Erevan, ce qui interdit notamment tout rassemblement et la publication par les médias de toute information n'émanant pas de sources gouvernementales.

Des chars, des transports de troupes blindés et des militaires patrouillaient toujours dans la capitale arménienne dans la soirée et un dispositif de sécurité très important entourait le siège du gouvernement.

En fin d'après-midi, les opérations de nettoyage dans les rues les plus touchées par les violences s'achevaient, la vingtaine de voitures calcinées et une grande partie des débris provenant des magasins pillés dans la nuit ayant été emportés par des camions.

L'opposition a de son côté mis un terme dimanche à l'aube à onze jours de manifestations contre la victoire à l'élection présidentielle du 19 février du Premier ministre Serge Sarkissian face à l'opposant et ancien président Levon Ter-Petrossian.

Mais le chef de l'opposition, assigné de facto à résidence depuis samedi matin, a promis de poursuivre son combat.

"Nous allons nous battre jusqu'à la chute de ce régime, nous n'avons pas peur de ce régime de kleptocrates et de criminels", s'est-il emporté devant des journalistes à son domicile.

"Nous pourrions organiser des manifestations dans d'autres villes proches de Erevan, ce serait légal, ce sera à moi de prendre cette décision", a-t-il ajouté.

Il a aussi rejeté la responsabilité des affrontements sur les autorités qui avaient dans la matinée de samedi évacué un camp de tentes de l'opposition sur la place de la Liberté où depuis le 20 février des dizaines de milliers d'opposants se réunissaient pacifiquement.

Sept civils et un policier sont morts lors des troubles tandis qu'un policier a été très grièvement blessé, a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Au total, 131 personnes ont été blessées dont 59 civils et 72 policiers, selon un communiqué du gouvernement, et une quinzaine d'opposants ont été arrêtés pour "incitation à la rébellion".

Par ailleurs, les appels au calme de la communauté internationale se sont multipliés dimanche.

Le Conseil de l'Europe a jugé que l'état d'urgence était un "obstacle au dialogue politique", une position partagée par le département d'Etat américain qui en a souhaité la levée "rapide", tout en appelant toutes les parties à coopérer pour "restaurer l'ordre".

La présidence finlandaise de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a de son côté annoncé l'envoi en Arménie d'un médiateur pour "amener les deux parties à la table des négociations".

M. Sarkissian, qui doit s'installer à la présidence le 9 avril, a tenu à rassurer, promettant "que le gouvernement de l'Arménie faisait tous les efforts pour éviter les violences et rétablir l'ordre".

Les affrontements avait éclaté samedi soir entre des centaines d'hommes des troupes anti-émeutes et environ 7.000 opposants qui dénonçaient le placement en résidence surveillée de M. Ter-Petrossian et réclamaient l'annulation des résultats de la présidentielle du 19 février.

Les opposants attendent désormais que leur demande soit étudiée la semaine prochaine par la Cour constitutionnelle.

L’identité de 4 des tués établie

lundi3 mars 2008, par Stéphane/armenews
Le porte-parole du bureau général des procureurs a déclaré qu’une unité spéciale du Service de la Sécurité Nationale, des officiers de la police et du fisc ont réussi à établir l’identité de quatre des personnes sur huit tuées dans des heurts entre la police et l’opposition les 1er et 2 mars.

Sona Truzian a dit que les hommes tués sont Gor Kloyan, Hamlet Tadevosian, David Petrosian et Zakar Hovhanesian.

Elle a dit que l’unité travaillait pour établir l’identité des quatres autres personnes.

Ces 4 personnes tuées sont des civiles.

D'après JP : son point de vue.

Citation :

Il est tout de même bizarre de constater qu’au moment où les émeutes débutent les forces de l’ordre dégagent pour laisser la ville aux voyous qui n’ont rien à voir avec les manifestants de l’opposition. Si cela ne ressemble pas à une manipulation alors qu’est-ce au juste ?

De même, l’information, que nous pouvions lire ce matin comme quoi Nikol Pachinian avait été pendu au pont menant de la mairie à l’usine de brandy, a soudainement disparu sans que l’on sache où se trouve le dit pendu et son identité précise.

Pas la moindre information non plus sur l’assassinat de l’enfant par les forces de l’ordre alors que celui-ci criait « Levon, Levon » au moment où il était arraché des bras d’un parlementaire qui tentait de le soustraire aux forces de l’ordre !

Mais rassurez vous brave gens, "Les circonstances des décès font l'objet d'une enquête", ont précisé les autorités. Voilà qui nous rassure sur les résultats à venir des enquêtes : Ce sera comme d’habitude : Nada !

Il est tout aussi délicieux de lire que le président a signé, samedi soir, un décret proclamant l'état d'urgence jusqu'au 20 mars "afin d'empêcher que l'ordre constitutionnel ne soit menacé", alors que l’on peut entendre ici ou là que ce serait lui, ou du moins son entourage immédiat, qui aurait été à la source de la fusillade du parlement. Mais ce sont là sans aucun doute des rumeurs rependues par de méchantes langues.

Vrai ou faux, toutes ces informations ont au moins le mérite de souligner le chaos politiques et morale que traverse aujourd’hui cette petite république bananière, pas même capable de produire la moindre banane ferait remarquer un esprit cynique. S’il y a une chose que l’on pourrait attribuer à la classe politique actuelle, c’est bien celle d’avoir mis en place le concept du sous développement durable. Car pour redresser le pays d’une telle situation, il faudra que beaucoup d’eau ait passé sous les ponts, que bien des réformes aient lieux et que l’esprit de la démocratie ait commencé à germer dans l’imagination des uns et des autres.
Pourtant, tôt ou tard, il faudra bien à un moment tenter de se reparler, car on ne peut ignorer longtemps 60% de la population même si cette proportion est contre vous. La présidence finlandaise de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe s’y emploie déjà, et à chaud, ce qui semble bien naïf face à la mentalité totalitaire du régime actuel. Même naïveté en apparence avec la déclaration de l'assistant au secrétaire d'Etat américain pour les affaires européennes et eurasiatiques qui appelle Erevan à résoudre pacifiquement la crise actuelle, alors qu’aujourd’hui on assassine et qu’on assassinera sans doute encore demain. Et lorsque le pouvoir explique que le gouvernement de l'Arménie faisait tous les efforts pour éviter les violences et rétablir l'ordre et qu’il s'agit de «mettre fin à la menace à l'ordre» et de «défendre la loi et les droits de la population», qui le croit ? Certainement pas le gros de la population, ni même les observateurs étrangers. Autrement dit, le pouvoir parle dans le vide, tente de se persuader en pensant que le calme doit revenir avant qu’un Ravaillac ne surgisse de l’ombre pour mettre un point final à cette formidable supercherie.

Vous pouvez voir les nouvelles dans les sites héberger hors d'Arménie



http://www.armenialiberty.org


http://munetik.wordpress.com

http://www.azadakrum.org/Jirayr/Articles/AAglobalization.html

Statements

Human rights defenders position on the existing situation in the country
03/03/08

1. Even from the pre-electoral campaign period, the public activities of different political bodies resulted in the atmosphere of intolerance in our society. Unfortunately the calls for tolerance, made both by competent international organizations and by the Human Rights Defender were ignored. Even more, the atmosphere of intolerance turned into mutual hatred after the tragic events on the March 1.
2. The events of March 1 started from the forced dispersal of the demonstrators in the Azatutyun square early in the morning. It was officially announced that there was an accumulation of weapon in the place of demonstration, and Police officers simply tried to inspect the area but faced tough resistance.
The Human Rights Defender’s position is that the authorities should clarify some issues. Notably, who, when and under what circumstances there was made a decision to disperse peaceful demonstration by using force early in the morning of March 1, whether the demonstrators were presented an official warning of corresponding searching and whether the participants refused or resisted, and whether the use of force was adequate to the situation.
The aforementioned issues are conditioned by the announcement of the demonstrators that early in the morning without any warning, they were attacked and severely beaten. It is difficult for us to reveal the truth but there is an unanswered question. What was the reason that the police imposed restrictions on the activities of journalists, for us to get full impartial information. The fact of such prevention was officially confirmed by "Erkir media" and "ALM" television broadcasters.
3. People near the French Embassy are a part of our society, they are not burglars or hooligans. They were convinced that they were citizens of Republic of Armenia who illegally suffered violence from law enforcement bodies.
The Police suggested to make a procession and hold a demonstration near Matenadaran. What was the reason that the people who could lead the demonstrators, did not do that, but at the last moment announced that the demonstrators did not obey them. Еeventually what was the reason that demonstrators disagreed with both law enforcement bodies and with the representatives of Levon Ter-Petrosyan’s electoral headquarter. Perhaps, the reason was the early morning events? Perhaps so many wounded and 8 dead persons were the result of this disagreement? The Defender deeply condoles with the relatives of the victims.
4. Current activities of some mass media, mainly TV broadcasters directed to the increase of the tension in atmosphere is at least doubtful. Particularly, it is continuously broadcasted the announcements of high level officials stating to punish or call to trial only those who participated in March 1 demonstrations.
Why the issue of possible illegal actions and corresponding responsibilities of law enforcement bodies are not discussed.

5. The presidential decree of 01.03.2008 introducing a state of emergency imposes restrictions on civil and constitutional rights. Thus, according to subpoint 4 of the 4th point of the decree, mass media reports on domestic political matters may include only official information. Whereas, according to the information, received by the Defender, the activities of «A1plusե, «Lragirե informational internet portals have been suspended. In connection with it, the head of the National Security told the Defender that the reason for such extreme measures is that the internet providers of the corresponding sites are located abroad. According to the head of the National Security the latter were warned about the restrictions prescribed by the decree, but they refused to stand to them justifying that they act within the legislation of their own state.
The subpoint 3 of point 4 of the aforementioned presidential decree provides that law enforcing bodies have the right to restrict the free movement of people, means of transport and execute searching. The complaints received by the Defender indicate that in a result of broad interpretation of the mentioned subpoint the right of people to enter Yerevan city is inadequately eliminated.
Besides, the defender receives complaints concerning mass arrestments which is аcompanied by, according to applicants, violations of criminal procedural norms. As for this question the Defender had a telephone conversation with the RA Prosecutor-General, who eagerly offered to present the list of all arrested people to the office of the Defender.
Nevertheless, some representatives of law enforcing bodies tried to prevent the Defender from executing his powers. Such case happened at the RA Police Yerevan department Qanaqer-Zeytun police station.

6.We think that the present situation is conditioned by rough governing system, over-centralization of power, artificial essence of system of checks and balances, social and economic polarization, combination of business and authorities, absence of public control over authorities, deficiency of civil liberties. So it is the situation which has been continuously mentioned by me as the Human Rights Defender of RA, that we have systematic problems in the sphere of the protection of human rights in Republic of Armenia. All these results in the fact, that one big part of our society feels apart from the administration, has a total distrust towards public institutes, electoral mechanisms, justice and mass media.
A certain part of political bodies tried to make use of the situation for its narrow political interests following not the way of dialogue, but the one of confrontation. Of course, the authorities have their part of responsibility in the current situation.
There are two ways to solve the situation: illegal, that is leading to deadlock and legal. The deadlock would be the situation when the political arena becomes deserted and a total feeling of fear would be formed. The other way must be based on real democratic mechanisms, human rights must be considered as a highest value or a headstone, and the way of dialogue and cooperation must be followed up.
It is reassuring that this way is preferred by the newly elected president. It shows that the coming government tries to follow the legal way. It is characteristic that a proposal of cooperation is made by a political leader, whose political party, forms the majority in the Parliament.
I’m sure that even in this situation the possibility of dialogue and political way of peaceful solution of the existing disagreements is not exhausted.

http://www.ombuds.am/main/en/0/18/1281

c'est qui JP?