Anniversaire du mouvement de la liberetion d'ARTSAKH

Anniversaire du mouvement de la libération d'ARTSAKH,
Juste 20 années avent le 13 février 1988 à Stepanakert plusieurs millier de nos compatriotes sont fait un rensablement pour demander la reunification avec la Patrie.

Hayk Kotanjian: Azerbaïdjan: Anti-democratism et le colonialisme, dans la perspective de la sécurité régionale
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Le 7 février, une conférence intitulée «Caucase et du Moyen-Orient en tant que partenaires potentiels dans le processus de formation du système de sécurité régionale" a commencé à Erevan, en Arménie. REGNUM publie texte intégral de général de division, commandant (INSS, le Ministère de la défense, de la République d'Arménie), docteur en sciences politiques, membre Fellow (Académie russe des sciences militaires), Counterterrorism Fellow (National Defense University, USA), membre (OTSC Academic-Expert Conseil) Hayk Kotanjian son rapport lors de la conférence.

Dans la communauté des organisations internationales et des universitaires traitant du règlement des conflits du Haut-Karabakh, il est courant d'exprimer le rétablissement de la paix optimisme concernant le règlement au début de chaque année. Avec tout le respect dû à ces attentes, je crois que l'examen des véritables problèmes de la paix et la sécurité dans la région dans le cercle d'experts comme un effort non moins utile.

Le règlement des conflits du Haut-Karabakh par des moyens démocratiques pacifiques est l'un des principaux problèmes pour la sécurité de l'Arménie, l'Azerbaïdjan et la région du Caucase du Sud dans l'ensemble (1). Ce rapport est consacrée à l'évaluation des coloniale essence antidémocratique de certaines manifestations de l'ancienne métropole de la politique par rapport à l'auto-déterminé le Haut-Karabakh. L'appréciation des caractéristiques essentielles de l'Etat "le processus de démocratisation dans la région, ainsi que la réalisation des droits collectifs et individuels des droits de l'homme peut être considérée comme une politique d'intégration de la base juridique de compréhension de l'architecture de sécurité régionale processus de formation, fondé sur les principes de De la coexistence pacifique et la coopération bénéficier de l'égalité des droits dans le Caucase du Sud.

Passons maintenant à l'ensemble des évaluations. Tout en analysant les positions des autorités azerbaïdjanaises en ce qui concerne la question du Karabakh comme un facteur de sécurité régionale ainsi que ses autres aspects, les évaluations externes de l'état voisin de leadership de la démocratie dans le contexte des normes juridiques internationales des droits de l'homme et protection des libertés sont d'une attention particulière . Une évaluation non partisane est donnée aux autorités de la République d'Azerbaïdjan par Freedom House (2), une renommée basée aux Etats-Unis les droits de l'homme organisation. Comme les années précédentes, la dernière enquête annuelle de Freedom House a déclaré l'Azerbaïdjan comme un "pas libres". Evidemment, le processus de démocratisation n'est pas dans le bon pays voisins - à la fois en Arménie et en Géorgie, mais Freedom House estime que ces deux pays "partiellement libre", à la différence de "non libre" en Azerbaïdjan.

Les collègues occidentaux considèrent le gouvernement azéri antidémocratique dans son essence politico-juridique. Cela est, tout d'abord, exprimé dans la succession dynastique et de l'entretien du pouvoir ainsi que dans l'imposition par le chef de l'Etat, le culte de son père, l'ancien dirigeant du pays-sur le peuple d'Azerbaïdjan ainsi ressemblant à la Sultanat de style dictatures. Il est bien connu que la réponse des autorités à l'évaluation de leur degré de démocratisation est considérée comme une composante importante de la démocratie par les organisations des droits humains. De ce point de vue, il est symptomatique que, le 24 décembre 2007, l'état voisin du Président, ignorant les évaluations de Freedom House, a déclaré que la communauté mondiale a reconnu l'Azerbaïdjan comme un pays démocratique et appelle son fils, le prochain héritier de la règle ( 3).

De la stabilité et la sécurité des perspectives, la «non-liberté» de notre état voisin se reflète dans les manifestations colonialiste à l'égard des droits et libertés des autochtones dans la partie orientale de la Transcaucasie. Que d'abord et avant tout, concerne le droit des peuples à l'égalité et la liberté externe et l'autodétermination interne. Antidemocratism de l'état voisin autorités du Haut-Karabakh concernant le règlement est exprimée en niant le fait de la suspension juridique démocratique de l'administration et de la hiérarchie des relations entre le Haut-Karabakh et l'Azerbaïdjan (4).

L'illégalité de la déclaration d'indépendance de l'Azerbaïdjan en 1991 (5), sans la tenue d'un référendum sur la question de la sécession de l'URSS se trouve dans la base de ignorant les politiques et juridiques mentionnés fait. Le fait de déclarer l'Azerbaïdjan indépendant, sans respect du droit du peuple de l'oblast autonome du Haut-Karabakh et d'autres régions de forte densité de population arménienne habitations de choix libre et indépendant de leur statut politique - au mépris de l'URSS agissant loi sur la procédure de règlement Les questions liées au retrait d'une République soviétique de l'URSS "(6) est également qualifié d'infraction à la loi. Au lieu de cela, par l'adoption d'un acte législatif sur la liquidation de l'autonomie du Haut-Karabakh, en République d'Azerbaïdjan révélée être une entité métropolitaine de l'oppression coloniale du Haut-Karabakh volonté du peuple à la libre autodétermination (7). En réaction à cet acte illégal, en agissant en conformité avec les principes de droit et la démocratie directe, la sécession du Haut-Karabakh de la RSS d'Azerbaïdjan, par la tenue d'un référendum.

Au début de 1992, la République d'Azerbaïdjan a déclenché une guerre coloniale en réponse à la proposition des autorités nouvellement élues NKR pour commencer les négociations de paix.

Outre les violations de la législation, les autorités de Bakou, a proclamé sa Déclaration d'indépendance en 1991 sur la succession juridique de la République démocratique de l'Azerbaïdjan, privant ainsi d'elle-même le droit d'inclure le Haut-Karabakh dans son territoire, en se fondant sur le fait que Haut-Karabakh, qui ont le statut d'un territoire contesté, n'a pas été inclus dans la République démocratique d'Azerbaïdjan pendant toute la période de son existence, de 1918 à 1920 (. Jusqu'ici, le Karabakh est une partie constitutive de l'Empire russe et auparavant - de Perse, mais pas de l'Azerbaïdjan, qui n'existait pas en tant qu'État indépendant jusqu'en 1918.

Un autre attribut de l'coloniale nature antidémocratique de la République d'Azerbaïdjan est la contradiction de sa Constitution (9) à l'essence des normes juridiques internationales sur le droit des peuples à disposer de leur propre destin par le biais de la libre expression de la volonté populaire de l'auto - Déterminer la population en toute liberté, formulées par l'Acte final d'Helsinki de 1975, les Pactes internationaux de 1966 sur les droits de l'homme et la Charte des Nations Unies (10). Monde pratique prouve que dans cette même voie, c'est-à-dire sans ingérence de la métropole, les droits des peuples autochtones du Bangladesh, en Érythrée, au Timor oriental, le Monténégro et le Kosovo en ce moment, trop ont été exercées, à l'auto-déterminer, par la libre expression de la volonté Lors des référendums tenus entre l'auto-détermination des nations, et non pas dans les populations de leurs anciennes métropoles, à savoir au Pakistan, en Éthiopie, en Indonésie ou la Yougoslavie et la Serbie.

Quelques mots sur la manifestation de antidemocratism, à savoir la propagande de la xénophobie, la violence et la guerre sont à signaler. Les efforts déployés par le Groupe de Minsk de l'OSCE sur le règlement pacifique du conflit du Karabakh se fondent sur les principes fondamentaux des Nations Unies: interdépendance de la paix, le progrès et la démocratie dans les relations avec les autres nations, en supposant que la paix durable est une prémisse, et la démocratie est une condition de la plus haute Sécurisée et le développement durable des nations. Ces principes, reflétés dans la Charte des Nations Unies et les Pactes des droits de l'homme, exclure la propagande de guerre. Toutefois, la fréquence des déclarations faites par les hommes d'État de notre pays voisin contenir une menace directe de la guerre. Etc allocutions publiques par le chef de notre État voisin à la population de la quasi-totalité des régions de l'Azerbaïdjan lors de manifestations nationales et internationales, ainsi que leur large diffusion par les médias conduira à une motivation de l'inéluctabilité de la reprise de la guerre en ligne avec les La propagande de guerre et de violence.

Pourtant, en procédant à ouvrir la propagande de guerre coloniale, les autorités de Bakou, contrairement à la logique du processus de Minsk, mobilise sa population pour retrouver Karabakh par la force. Une preuve concrète de l'Azerbaïdjan en préparation à la guerre est son esprit excès de prescription, prévu par le Traité sur les forces armées conventionnelles en Europe (FCE). Au lieu des 220 autorisés citernes, l'Azerbaïdjan a 579, c'est-à-dire supérieure à 2,63 fois, au lieu de 220 véhicules blindés de combat-1174 (supérieure à 5,34 fois), au lieu de 285 pièces d'artillerie de 100 mm de calibre plus élevé et ceux-788 (supérieure à 2,76 fois), Au lieu de 100 avions de combat-128 pièces (supérieure à 1,28 fois). Il convient de noter que l'Arménie continue de faire face à ses engagements internationaux, conformément au Traité FCE et la NKR déclare sa volonté de devenir un participant responsable dans ce traité qui est d'une telle importance pour la sécurité régionale.

Les déclarations faites par les hommes d'État des pays voisins comme une question de fait est une violation flagrante des Pactes internationaux relatifs aux droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels, et dont il est difficile de ne pas se qualifier comme l'incitation de son propre peuple à des actes de génocide Envers la population arménienne. Malheureusement, un exemple d'une telle manifestation de mépris colonial envers leurs engagements internationaux est donnée par le chef de l'état voisin lui-même. Dans son dernier discours au Nouvel An les Azerbaïdjanais du monde entier Président Aliev menaçait les Arméniens du Haut-Karabakh avec l'épuration ethnique: "Si les Arméniens résidant dans le Haut-Karabakh veulent décider de leur destin, ils doivent le faire en fondant sur le principe de l'Azerbaïdjan L'intégrité territoriale, mais s'ils ne veulent pas le faire, ils doivent laisser le Haut-Karabakh et de créer leur deuxième état dans un autre lieu "(11).

Le caractère antidémocratique de l'oléoduc Bakou position des autorités sur le droit des peuples à l'autodétermination se reflète également sur le plan interne en ce qui concerne les droits des minorités ethniques à l'autodétermination interne. Bakou scepticisme envers les promesses de rendre haut niveau d'autonomie aux Arméniens est fondée sur le mépris le plus complet de l'arménien azéri les droits des réfugiés, tout en menant des négociations sur la réalisation des droits des réfugiés et des personnes temporairement déplacées de nationalité azerbaïdjanaise. Un exemple symptomatique et de la récupération du régime Aliyev colonialisme et antidemocratism concernant les droits des minorités ethniques à l'intérieur de l'auto-1993, qui était accompagné de son chef de la Ethnopolitiques et ses compagnons d'arrêt (12).

Le fait de l'ensemble des faux-fuyants et de la pression sur des informations exactes en Azerbaïdjan se reflète dans les évaluations par "Freedom House" comme l'une des principales caractéristiques du régime antidémocratique de ce "pas libres". La politique officielle de la nation titulaire de la domination, au détriment de la parité avec les autochtones du pays voisin se retrouve dans l'esprit de reconstruction de l'histoire scientifique des nations de la région, qui vise à la distorsion de leur identité, comme Et à réduire la place et le rôle des peuples autochtones dans le développement historique de la culture de Transcaucasie orientale. Dans la politique de l'échouement falsifications historiques de l'Azerbaïdjan historique du droit à la possession d'un territoire, qui a été peuplée depuis des millénaires par les Arméniens dans le Haut-Karabakh et l'Arménie, a une place particulière. Comme on le sait du texte du discours du Président Aliyev à la réunion anniversaire de l'Académie Nationale des Sciences, il a effectué un ordre politique sur la falsification de l'histoire de Transcaucasie orientale, le 14 décembre, 2005 (13). À la suite de la politique de substitution de l'histoire scientifique de la propagande totalitaire spéciale, il se produit une rupture entre la réalité et les antiscientific histoire des nations de l'Est Transcaucasie, encadrés dans les profondeurs des autorités actuelles.

La communauté universitaire mondiale a déjà enregistré des tentatives spécifiques sur la réalisation de l'ordre politique de l'état voisin de la tête - de faire l'histoire de la primitive densément peuplées de populations turques résidant sur le territoire de la Transcaucasie orientale, soumise à la Perse. Le fait scientifique des populations turques' habitation de 900 ans dans le Caucase du Sud semble être un petit délai inacceptable pour les autorités de Bakou. Les faussaires qui tentent de prolonger l'histoire pour dix mille ans - retour à l'époque mésolithique de créer des artefacts de Gobustan par l'homme préhistorique de l'âge de pierre Epoch. Ces distorsions du passé, qui ont reçu l'ordre d'en haut, sont percés à travers les manipulations avec le toponyme iranien "Azerbaïdjan" avec sa antiscientific usage vers la Perse ancienne caucasienne provinces pour les périodes. L'application de cette politique a précédé terme bien avant les populations turques installées dans le territoire de l'est de la Transcaucasie. Comme on le sait, les populations turques des provinces caucasiennes ne sont pas aussi importantes que "Azerbaïdjanais" et régler leur territoire comme «Azerbaïdjan» dans la documentation officielle de l'Empire russe. En un mot, la célèbre blague: «L'URSS est un pays avec un passé imprévisible" est pleinement applicable à l'Azerbaïdjan, où les autorités de l'ordre, une nouvelle histoire de la région est écrit-avec un changement radical de la place et du rôle de Réglé les peuples autochtones et les tribus nomades nouvellement arrivés. Telles sont les positions de la manipulation à partir de laquelle les autorités de Bakou imputer aux Arméniens crimes contre la "peuple azerbaïdjanais", même dans ces périodes, lorsque les ancêtres des turcs contemporains Azerbaïdjanais n'ont pas entrer dans le Caucase du Sud de l'Asie centrale.

Préparer un motif pour justifier les revendications coloniales sur le territoire de la République du Haut-Karabakh, les autorités de Bakou, le fait de manipuler le rapatriement du contingent limité des Arméniens (qui avait été enlevé plus tôt à la Perse par le shah Abbas) à la suite de la Russie - Persan guerre de 1828. Certains des universitaires politiquement engagé par les autorités de Bakou pour tenter de poussée à la communauté azerbaïdjanaise estime que tous les Arméniens sont arrivés à la Transcaucasie orientale. La donnée "scientifiquement adaptés" propagande est récemment effectué droit de la bouche du président Aliyev. Similaire des autorités de la violence des droits de l'homme sur la liberté d'accès à la véracité des informations scientifiques objectifs au peuple azerbaïdjanais gâter par la conviction que l'Artsakh est prétendument la patrie des populations turques, et les Arméniens du Karabakh et l'Arménie sont, pour la plupart, soit des descendants de Re-colons ou les Arméniens ne sont pas du tout.

Dans la politique de démolition de la confiance entre les nations, les autorités de Bakou ménager une place spéciale à la distorsion consciente de l'information sur le génocide arménien sous l'Empire ottoman. Propagande de l'Etat manque de respect pour la mémoire de 1,5 millions d'arméniens victimes dépasse les frontières de publications distinctes, prenant la forme de sacrilège, réalisé par les autorités de Bakou. Pour des exemples de grossières falsifications de l'histoire de Transcaucasie orientale, nous pouvons apporter les tentatives des politico «équilibrage» des crimes de génocide contre la population arménienne, qui ont été commis au début du 20e siècle, avec «le génocide contre les Azerbaïdjanais». Sur la base de ces falsifications, le décret du Président de la République d'Azerbaïdjan "Sur le génocide contre les Azerbaïdjanais» a été publié en 1998 (14). Les représentants de l'intelligentsia Bakou eux dans le cercle étroit confidentielles sont moqueuse à la manière malhonnête et dangereux de la politique de «consolidation du peuple azerbaïdjanais" contre les peuples arménien et en russe. Ils savent que comme une question de fait au début du 20ème siècle, le massacre des Arméniens et à la résistance des Arméniens de ce massacre a eu lieu, ainsi que plus tard-1988 et à Bakou en 1990.

Il convient de mentionner que les autorités de Bakou "sneering, à la douleur et à la dignité humaine de millions de familles arméniennes de la diaspora ainsi que la propagande de la xénophobie parmi la population azerbaïdjanaise, jouent également un rôle diamétralement opposé - elle consolide les Arméniens du monde entier Suffisant pour contrecarrer la diffamation à l'Etat du génocide arménien.

La récente campagne de la commémoration du "génocide" les victimes, comme s'il était commis par les Arméniens contre les juifs montagnards, sert à affronter les Arméniens et les Juifs. La vérité historique est défié par les manipulateurs (par le biais de l'information de guerre) à un tel point de sneer, que l'excavation enterrements de masse des Arméniens, ont tué au début du 20e siècle, sont présentés comme des "victimes" par des actes de génocide Les victimes très vrai, c'est les Arméniens. Le but est de détruire les vieilles de plusieurs siècles bon voisinage qui existaient entre le Chirvan Arméniens et Juifs des montagnes, dans le but de pousser Israël et le lobby juif à des organisations anti-arménien positions.

Parmi similaire résultats de la participation de scientifiques dans le antiscientific élaboration du régime de Bakou guerre de l'information qui est untwisted par des propagandistes sous le drapeau de la protection des droits humains, le fait de falsifier la paternité d'au sneering les corps des victimes de la tragédie mérite Khojalu Une attention particulière. Les détails de la donnée de provocation, comme un outil de lutte politique pour le pouvoir à Bakou, sont indiqués par des traces fraîches dans la fameuse interview du président azéri Ayaz Mutalibov à la journaliste tchèque Dana Mazalova (15). La partie arménienne a toutes les preuves que les cadavres des personnes tuées se trouvaient dans la zone de responsabilité des autorités azerbaïdjanaises et le contact physique des Arméniens avec les organismes de leur abus est impossible.

Le fait que la communauté analytique en Azerbaïdjan, ainsi qu'en Arménie, est représentée par suffisamment large éventail de points de vue sur la sécurité réalités et perspectives de notre division du Sud-Caucase du voisinage de l'Europe suscite bien des espoirs. J'ai eu l'honneur de connaître louables Azerbaïdjanais multinationales dans le milieu professionnel, en collaboration avec l'impartialité et dignes représentants de différents Etats et d'organisations. Je suis sûr qu'il ya des spécialistes dans notre pays voisin, qui comprennent la contre-productivité de rétablir le colonialisme en vue de la population du Haut-Karabakh dans le processus de constitution européenne de voisinage. Le même problème pourrait devenir le sujet d'une étude impartiale de l'Azerbaïdjan politiquement non engagés des scientifiques, qui sont préoccupés par les perspectives de garantir le développement démocratique de la région, ainsi que pour les co-présidents du Groupe de Minsk et à la communauté internationale d'analyse .