Siréli Kouyrig,
Ta maman, je l'ai comprise et j'ai vibré quand tu nous as expliqué à quel point elle était sensible à l'Arménie Occidentale et à quel point elle partageait chacune de nos émotions.
L'Arménie Occidentale, sa patrie, son pays, elle n'a pas eu l'occasion d'y retourner durant toutes ces années d'exil, mais elle a toujours préserver en mémoire le goût de sa terre et de ses racines.
Siréli Dzovinar, ta maman n'est pas partie bien loin, elle est là dans notre coeur, elle a rejoint une partie de nous mêmes qui se trouve là ou nous allons tous aller.
En ce jour, tous tes amis se joignent à moi pour te transmettre nos condoléances.