Que vous continuez à nier et falsifier l'identité arménienne d'Arménie Occidentale et après que le génocide soit devenu arménien, vous verrez que dans quelques années, le tcheureg sera une brioche azéri, meghk!
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Dolmas
Nom curieux et ignoré, avec les dolmas on entre dans le cœur de la cuisine azérie. Les dolmas sont considérés comme le plat national du pays. Ils sont préparés avec des feuilles de fruits ou de légumes. Celles-ci sont farcies de viandes hachées. Dolmah signifie « farci » ou « rempli » en azéri, et le verbe dolamag signifie « plier ». Voilà qui nous rattache aux feuilles de vigne farcies que l’on retrouve en Turquie et en Grèce. L’Asie centrale, le Caucase, les Balkans, l’Afrique du Nord pratiquent beaucoup ces plats confectionnés à l’aide de feuilles pliées. La farce est tantôt composée de viandes, tantôt de légumes, notamment l’aubergine, la tomate et le poivron. Ces trois légumes sont les phares du voyage. La tomate, née en Amérique latine, qui se retrouve ici, au cœur de l’Eurasie. L’aubergine, turque de naissance et plat des Mongols, le poivron, lui aussi originaire d’Amérique, et qui s’est tant acclimaté de par le monde. Décidemment, l’Azerbaïdjan est vraiment le pays des échanges et des rencontres.
Le dolmas n’est qu’une énième variante du produit farci. C’est le même procédé que les raviolis, sauf que l’enveloppe est issue du végétal et non pas de la pâte. Ce qui plaît ce sont les petites bouchées que cela permet, les mélanges des arômes et des goûts, les associations et les combinaisons. Le dolmas est en lui-même le lieu des rencontres et des carrefours, une plaque tournante de la gastronomie mondiale. Petit, il s’offre de façon individuelle ; mais toujours réalisé en grande quantité, il permet de nourrir beaucoup de monde. Il associe en même temps le plaisir individuel et l’échange collectif.