LE CNA ET L'UNION EUROPEENNE

Réponse à la Lettre aux députés européens du 09.11.2010 par le CNA conernant le Résolution du Parlement Européen du 18 juin 1987
UE exhorte la Turquie à débloquer la frontière avec l'Arménie et établir des relations diplomatiques 18:19

Analitika. A. UA . L'UE salue la signature de l'Arménie et la Turquie du protocole relatif à la coopération, tout en déplorant le fait qu'en raison de nonconstructivity pratique de temps en Turquie pour la ratification a été perdu -. Il est dit dans une déclaration après une réunion de la coopération interparlementaire, la Commission de l'Arménie de l'UE a tenu à Bruxelles le Décembre 1-2.

Dans ce cas, le document appelle à la poursuite des efforts vers la normalisation des relations arméno-turques. En tant que geste de bonne volonté, la Commission exhorte la Turquie à ratifier les protocoles pour débloquer la frontière avec l'Arménie. La Commission demande également à Ankara, sans conditions préalables, à établir des relations diplomatiques avec Erevan. Dans ce cas, la déclaration a souligné que l'Arménie et la Turquie et le processus du Karabakh n'est pas associé ou causés par l'autre.

La déclaration fait référence à la Résolution du Parlement européen du 18 Juin 1987 sur une solution politique à la question arménienne, dans lequel le Parlement européen a reconnu le génocide arménien en Turquie ottomane au début du 20 ème siècle.

Le document a également exprimé sa satisfaction du fait que l'Arménie doit respecter les monuments culturels des autres peuples sur son territoire. NOUVELLES. h

Les moyens de résoudre les problèmes arméno-turques - la reconnaissance du génocide des Arméniens, excuses et compensations: expert

Tant que la Turquie n'a pas reconnu le génocide des Arméniens, la démocratisation de ce pays ne peut pas être considérée. a déclaré le docteur Jermaine Makkalpin. expert des sciences politiques, professeur à l'West Indies University (Université des Indes occidentales), le 11 décembre au correspond du site d’information Regnum, dans le cadre d’une conférence organisée par l’ARF ARF et le Comité de «Hay Dat" sur le thème "une décision juste, l’indemnisation pour le génocide des Arméniens" .

"Tant que la Turquie n'a pas reconnu le génocide des Arméniens, il sera impossible de procéder à la fermeture de cette page d'histoire », - dit Makkalpin. Comme elle l'a fait remarquer, les événements de 1915 ont eu lieu près d'un siècle, mais le temps peut pas guérir cette blessure profonde, et elle continuera aussi longtemps que la Turquie ne prend pas la responsabilité de reconnaître le premier génocide du 20ème siècle.

Parlant de la position d'Ankara et du peuple turc sur cette question, Makkalpin note que les allégations selon lesquelles la Turquie moderne ne devrait pas être responsable de ce qui s'est passé il ya près de 100 ans dans l'Empire ottoman, sont fondamentalement erronées. "Après avoir reçu un gros héritage de ses ancêtres, ils ont également été responsables de leurs actes, nous ne disons pas que les meurtres des Arméniens ont été commis par les Turcs qui vivent aujourd'hui dans ce pays, mais la société turque est basée sur ces concepts, et le sentiment anti-arménien." - A déclaré l'expert. En outre, comme l'a noté le Dr Makkalpin, la République turque ne pourra pas se laver du sang sur les mains, même si elle reconnait le fait de génocide. La reconnaissance doit être suivie d'excuses et une indemnisation pour les dommages, a t’elle dit.

". Je ne pense pas seulement à une compensation financière, qui est également très important du point de vue de la justice, mais aussi à la restitution des terres autochtones en Arménie, le génocide a des conséquences profondes à long terme et beaucoup souffre depuis plusieurs générations», - a dit l'expert.
Makkalpin, s'exprimant sur le processus de normalisation des relations entre les deux pays, a exprimé sa confiance qu'un résultat positif est possible seulement en cas de rétablissement de la vérité historique.
"Beaucoup affirment dans les sociétés modernes que des problèmes de l'Arménie et de la Turquie n’existent plus et que ces pays doivent commencer des relations avec une nouvelle feuille de route, mais je suis sûr que c’est le seul point de vue des autorités. Ceux qui ont survécu au génocide ou qui ont souffert de ce phénomène ne peuvent pas" – a t’elle dit, soulignant que la première étape vers la normalisation des relations arméno-turques devrait être une reconnaissance du génocide.
Jermaine Makkalpin a souligné que la reconnaissance est un moyen de prévenir des événements semblables à l'avenir: «La communauté internationale est sûr que la répétition du génocide est impossible, mais de tels événements se produisent encore dans nos vies à ce jour, la seule explication à cela est le manque de volonté politique de s'attaquer au problème. "
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